SÉRIES TÉLÉVISÉES AU SERVICE D’UNE CRÉTINISATION DE LA SOCIÉTÉ SÉNÉGALAISE

logo sud quotidien.jpg
aziz_tall_1.jpg

Par Abdoul Aziz TALL

SÉRIES TÉLÉVISÉES ET OBSCÉNITÉS AU SERVICE D’UNE CRÉTINISATION DE LA SOCIÉTÉ SÉNÉGALAISE

La tyrannie de la vulgarité imprime ses marques dans notre société pour qui, traditionnellement, la pudeur, le «kersa» ne sont pas des mots vides de sens. Les danses et les séries dont la télévision nous matraque mettent en scène de piètres acteurs

Abdoul Aziz TALL | Publication 30/07/2021

« Au Sénégal, on dirait que la danse constitue l’activité dominante ; mais pas n’importe quelle danse. Celle que l’on y pratique est à la fois vulgaire et indécente. Il suffit de regarder vos Télévisons pour s’en convaincre» Cette remarque, pour la moins cinglante Abdoul, est celle d’un étudiant américain qui a séjourné au Sénégal et que j’ai rencontré, il y a quelques années, à la Florida Mémorial University. Estimant sans doute avoir heurté ma sensibilité, il s’empressa d’ajouter : «Je me suis laissé dire que sous Senghor, il était inimaginable de voir les danseuses de Sorano ou même celles des manifestations publiques auxquelles il assistait, se livrer à des gestes obscènes. Je suis sûr qu’il serait scandalisé par certaines images de vos Ttlévisions, s’il ressuscitait aujourd’hui».
 
C’était là un réquisitoire sans doute très sévère mais qui hélas, traduit aujourd’hui encore plus que jamais, une triste réalité. En effet, qui se risquerait à réfuter ce constat dressé par un observateur étranger, de surcroît originaire d’un pays dont le peuple, pour être viscéralement attaché à la liberté, sous toutes ses formes, n’en est pas moins gardien, dans certains de ses états, d’un puritanisme connu de par le monde ?

Salvador Dali, célèbre peintre surréaliste espagnol, disait de la télévision, que «ce n’est rien d’autre qu’un instrument de crétinisation des masses». Il suffit de regarder les programmes de la plupart de nos télévisions pour prendre l’exacte mesure de la véracité de ses propos. Nous sommes envahis, à longueur de semaine, par des clips et séries télévisées insipides, qui regorgent d’inepties déconcertantes et où l’obscénité le dispute à la vulgarité, l’irrespect à l’indécence.

Quand on regarde certains des programmes de nos télévisions, l’on ne peut s’empêcher de donner raison à ce psychologue qui affirmait que, dans ces images impudiques, tout ce qui concourait à l’intimité de la vie conjugale se trouve ravalé au rang de pratique banale aujourd’hui. C’est dire que la tyrannie de la vulgarité imprime ses marques, progressivement, dans notre société pour qui, traditionnellement, la pudeur, le «kersa» ne sont pas des mots vides de sens. Les danses et les séries dont la télévision nous matraque mettent en scène de piètres acteurs, sans référentiels dans le pays.

Les thèmes qui y sont abordés et les dialogues qui s’y engagent dénotent simplement de l’idiotie. L’apologie sournoise de la banalisation de l’adultère, des relations coupables ainsi que des tares sociales, suscite bien des frissons chez les pères de famille avertis.

Le souci de dénoncer et d’enrayer tous ces phénomènes sociaux dévastateurs devrait motiver la conception d’une politique culturelle digne de ce nom dans notre pays. On ne saurait créer «un Sénégalais de type nouveau» sur la base d’un syncrétisme dont les composantes sont elles mêmes fondées sur des mirages, des rêves qui modifient de manière fort négative notre façon de penser, de nous habiller, de nous comporter dans la vie familiale, sentimentale, dans nos relations avec nos parents, les personnes âgées etc. Ces séries télévisées, véritables instruments de destruction de notre société, finissent par planter le drapeau du renoncement sur le champ de notre pudeur traditionnelle, fondement de nos valeurs ancestrales, culturelles et religieuses.

 Comble de malheur, ceux qui, sans scrupules, nous imposent ces spectacles affligeants, nous considèrent, sans conteste, comme des demeurés. L’argument selon lequel c’est le public qui en est friand et qui le réclame est purement fallacieux et défie le bon sens. C’est plutôt le public qui est formaté et qui, la mort dans l’âme, se contente de ces moyens d’autodestruction culturelle et sociale. Car, comme le rappelle souvent, et de manière fort pertinente, le sociologue Djiby Diakhaté, « les travaux de Freud ont permis de montrer que le « moi » n’est pas maître dans sa propre demeure ». En plus d’être devenus des poubelles télévisuelles de l’Occident et de l’Amérique du sud, pour reprendre les propos du défunt Khalife Général des Tidjianes, le vénéré El Hadji Abdoul Aziz Sy Dabakh (RTA), ce sont nos propres télévisions qui nous offrent des productions locales, porteuses des germes d’une destruction de nos valeurs culturelles.

Le saint homme n’avait de cesse de lutter, toute sa vie, contre la tyrannie innommable des images attentatoires à nos consciences citoyennes. En fait, l’effet dévastateur de ce tapage médiatique pourrait, à bien des égards, se comparer à l’action néfaste du stupéfiant qui crée l’accoutumance chez les victimes de la drogue. Nos consciences individuelles et collectives sont menacées au plus haut point. Aujourd’hui, hélas, nombre de jeunes croupissent dans le désœuvrement et sont, bien souvent, intellectuellement anesthésiés par des manipulations médiatiques.

Pour eux, l’avenir apparaît comme un gouffre sans fin, un horizon inatteignable. Des lors, que leur reste t-il sinon le suicide mental d’abord, physique ensuite : Ils succombent à l’attrait des mers lointaines, effectuant, ainsi, un terrible saut dans l’inconnu. Quant à la femme au foyer meurtrie par l’oisiveté du quotidien, il ne lui reste plus, comme dérivatif à ses angoisses, que la consommation passive de ces clips et séries télévisés. Ce qui n’est pas sans rappeler l’enfant malade qui se voit administrer un médicament inapproprié et qui, à la longue, lui est dommageable. C’est, osons-le dire, à un «ndeup» collectif que nos télévisions nous invitent régulièrement.

Le Conseil National de Régulation de l’Audiovisuel (CNRA) devrait s’impliquer davantage dans le contrôle des programmes de Télévision. Les Associations de consommateurs de même que celles qui militent pour la défense du droit de l’enfant et de la femme devraient également jouer leur partition. Au demeurant, ces clips et films sont, pour la plupart, des supports publicitaires. Dès lors, il me paraît opportun de s’interroger sur la portée réelle de la loi 83- 20 du 28 janvier 1983, relative à la publicité et dont l’exposé des motifs rappelle, de façon explicite, les règles fondamentales auxquelles celle-ci doit obéir, notamment en matière de décence, de loyauté, de protection de la personne privée, des enfants et des adolescents.

La publicité doit donc être saine et conforme aux us et coutumes de la société sénégalaise. Cette loi, serait-elle tombée en désuétude ? On ne répétera jamais assez, qu’il est plus dangereux, au double plan sociologique et culturel, de nous laisser envahir par certaines images de télévision, que d’accepter la mort pure et simple de notre patrimoine immatériel. Car, dans le cas d’espèce, ce sont les consciences poreuses qui sont détruites, au risque de voir disparaître, progressivement, tous les repères culturels et moraux pourtant si indispensables à une vie harmonieuse, équilibrée. Face à ce tableau sombre qui vient d’être dépeint, n’est-il pas grand temps, pour nos autorités morales et religieuses, d’intervenir vigoureusement ? Comme des sentinelles de l’éthique, Il leur revient plus qu’à toute autre personne de défendre et de préserver leurs concitoyens contre toutes les formes d’agression qu’ils subissent. Il fut un temps où, pour un Sénégalais, décliner son identité était un motif de fierté : Etre Sénégalais avait une certaine signification culturelle positive.

Pour l’heure, un constat amer s’impose : la plupart du temps, les parents font montre de renoncement, Un renoncement que rien ne justifie. Il est temps que des voix autorisées s’élèvent pour dire non ! Pour exiger l’arrêt de cette crétinisation à laquelle nous sommes soumis en permanence, pour dénier à l’ineptie la place de choix que certains s’obstinent à lui attribuer au sein de notre société. Il vaut mieux se priver de télévision que de voir, tous les jours, se déverser dans nos consciences des images qui détruisent tout ce que nous avons de culturellement positif, ce faisceau de valeurs qui, naguère, faisaient la fierté de nos ancêtres.

Tout le monde est interpellé : les pouvoirs publics, les enseignants, les éducateurs, les religieux, imams et prêtres, dans les mosquées et les églises, les prêcheurs de la bonne parole qui officient dans les médias publics et privés, mais aussi et, surtout, les femmes et les jeunes eux-mêmes, victimes toutes désignées. Il incombe à tout un chacun de défendre la culture, la conscience citoyenne de ce pays. Faute de quoi, les jeunes risquent d’avoir, pour seule ambition, de devenir de vulgaires danseurs ou de piètres comédiens, modèles achevés de ridicule et de niaiserie. Tout cela, à n’en pas douter, est le résultat d’un brouillage culturel savamment entretenu par des télévisions qui ne cessent d’envoyer, décidément, des signaux troublants.

Le Professeur Cheikh Anta Diop nous a toujours invités à l’enracinement d’abord et à l’ouverture après. Nos racines sont en train, hélas, de s’effriter, face à l’agression culturelle et au mimétisme nocif dont nous sommes les principaux complices, pour ne pas dire les véritables acteurs. Une ouverture vers l’autre mal contrôlée nous conduit, inéluctablement, vers des anti- valeurs, avec des habits d’emprunt d’autant plus ridicules qu’ils nous donnent l’image d’individus hybrides, en errance dans un désert culturel accablant.

 

COVID'RESILIENT : La réponse sénégalaise !

Sursaut national face au coronavirus: Gouvernement, secteur privé, milieux académiques, société civile et populations se sont érigés en coalition pour démentir la catastrophe annoncée. Il y aura un avant et un après-Covid-19. C’est écrit !

Accédez en un click à : -La plaquette de présentation de la coalition Daancovid-19 ; -L’étude du CNP sur l’impact et la gestion du Covid-19 dans les entreprises sénégalaises ; -Les interviews audio des responsables de la coalition Daancovid-19 ; -Les mesures fiscales proposées par l’Ordre National des Experts du Sénégal - ONES.

--

Plaquette de présentation en un click

Plaquette de présentation en un click

CNP l'oeil ouvert Covid19 mai 2020.jpg

Impact et gestion du Covid-19 dans les entreprises du Conseil National du Patronat - CNP

Premières conséquences économiques, sociales et financières de la crise sanitaire Covid-19 dans les entreprises du Cnp

Mesures urgentes d’accompagnement et de soutien aux entreprises souhaitées par le Cnp

Contributions des groupements professionnels et entreprises du Cnp à la solidarité nationale

Vision du Cnp sur les perspectives de relance économique

Guide du Cnp pour la prévention et la gestion sanitaires du Covid-19 en milieu professionnel

Articles du Code du Travail relatifs aux procédures de chômage technique et de modification du contrat de travail

Mesures fiscales et financières du Programme de résilience économique et sociale

Dispositif financier de soutien de l’activité économique de la Bceao

Dispositif de report et de suspension d’échéances de crédit de l’Apbef

Daancovid-19 : Les clés de la résilience (audio)

Daancovid-19 : Les clés de la résilience (audio)

Le Conseil National du Patronat - CNP a diffusé le 17 mai 2020 sur Radio Sénégal International - RSI 92.5 FM son émission radiophonique "l'Entreprise Citoyenne", produite en partenariat avec la Fondation Konrad Adenauer. Elle était consacrée aux réponses du Numérique à l’impact économique et sanitaire du Covid 19, Avec les interventions de : M. Antoine NGOM – Président d’OPTIC – Co-Président de Daancovid19, M. Mouhamed Tidiane SECK - Coordonnateur Technique Daancovid19, M. Abdoukhadre DIAGNE - Représentant du sous-comité Gestion - Pilotage et Aide à la Décision, M. Ibrahima Nour Eddine DIAGNE – Coordonnateur du sous-comité Solutions Digitales, M. Mamoudou NIANE – Coordonnateur du sous-comité Juridique, M. Mohamed Moustapha DIOUF - Représentant du sous-comité Analyse - Recherche – Suivi, Mme Carine VAVASSEUR - Coordinatrice assistante du sous-comité Communication.

planet coronavirus.jpg

« Il n’y a pas de hasard, que des rendez-vous »

En Chine, il y a deux options pour traduire le mot « crise » : danger, et opportunité.

Et si la pandémie est partie de l’Empire du Milieu, ce n’est peut-être pas une coïncidence mais l’illustration que cette menace était un défi à relever, une expérience à surmonter qui aujourd’hui se révèle une opportunité pour les chinois de se redéployer à l’échelle planétaire comme des experts de cette pandémie, ce qui par ricochet, légitime leur posture de centre de gravité du monde de demain.

En effet, ce pays est devenu le point de convergence de la production industrielle en pièces détachées, produits finis et prestations de services au point que tout ce qui l’affecte positivement et négativement a des répercussions sur l’ensemble de l’économie mondiale. Pour le Covid 19, c’était définitivement « the place to be », la rampe de lancement pour passer à la postérité comme une pandémie parmi les plus glorieuses.

Il y a dans l’histoire du monde des grandes étapes, marquées chacune par de grands cataclysmes qui ont provoqué des ruptures, comme le big bang créateur de l’univers, la fin des dinosaures provoquée par la chute d’une météorite sur la terre, les grandes glaciations et éruptions solaires qui sont le fait de la nature, les différentes guerres, épidémies et crises politiques provoquées par les hommes, et au plan de la mythologie religieuse, des phénomènes tels que le déluge qui ont permis de rebattre les cartes chaque fois que la planète s’est trouvée dans une impasse.

Dire que le monde d’aujourdhui est arrivé au bout de ses incohérences est un euphémisme : il n’a jamais disposé d’autant de moyens et n’a jamais autant mis sa survie en péril. La faute à une pénurie des valeurs, une surexploitation des ressources et une redistribution calamiteuse des richesses qui ont exacerbé la lutte des classes en verrouillant toute solution de sortie de crise.

Les seuls exutoires proposés face à ce désespoir sont les migrations et la radicalisation religieuse.

Hasard ou coïncidence, le point culminant a été atteint avec la succession de COP stériles où les décideurs et influenceurs de ce monde convergent périodiquement au mépris de leur empreinte carbone, tirent la sonnette d’alarme sur l’urgence de réguler le dérèglement climatique puis se quittent en remettant la prise de décision… à la prochaine COP.

Dans ce marasme complet où la raison et le bon sens ont capitulé face aux intérêts partisans, « Make America Great Again », il n’est plus possible de compter sur le sens des responsabilités des hommes pour trouver des solutions durables aux problèmes qu’ils ont créés, le salut doit donc venir d’une influence extérieure qui va imposer un reset du système, une remise en question de ses fondamentaux génératrice d’un ordre nouveau.

Et pour faire bonne mesure, le redresseur de torts s’est attaqué au système par ses symboles les plus puissants :

-Les pays dominants : Voir l’Amérique triomphante, la vieille Europe et l’ambitieux Iran plier sous le joug de cette épidémie, c’est toute la suffisance des sociétés humaines qui révèle sa fragilité : un colosse aux pieds d’argile,

-Le système financier international : Basé sur la consommation et la spéculation, il a installé une surenchère sur les ressources et les moyens afin de maintenir les ménages et les entreprises dans une dépendance permanente de leurs envies et non de leurs besoins, source de tous les excès,

-Les systèmes de santé publique : La santé publique des Etats est désormais abordée selon des critères de gestion comptable plutôt que de réponse sociale. Résultat, la logique de solvabilité prime sur le service public, avec comme conséquences une médecine élitiste, des stocks exsangues et une couverture médicale défaillante,

-L’industrie pharmaceutique : Le paradoxe est que les Etats se sont dessaisis de la production de médicaments au profit de sociétés privées qui l’ont réduite à un simple commerce. Du coup, l’offre de médicaments répond à des critères de profit au détriment de la santé des populations qui sont maintenues dans un état de morbidité chronique : on ne guérit plus, on soulage et on maintient la dépendance aux traitements à vie.

-La structure sociale : Elle a explosé sous le coup d’expérimentations hasardeuses assimilées au « Progrès », menées au pas de charge par des apprentis sorciers obsédés par les Libertés et qui n’ont pas pris soin de laisser aux citoyens le temps de mesurer les bienfaits de ces réformes sur les Droits Humains et libertés individuelles : Mariage pour tous, PMA, GPA, ainsi que sur les sciences et la technologie : bioéthique, OGM, 5G, etc…

-Les modes de production et de consommation : Frénétiques, boulimiques, déraisonnables, axés sur le profit plus que sur la préservation des ressources naturelles et financières, jusqu’au point de rupture,

-La préservation de l’environnement : Sacrifiée sur l’autel du pouvoir, du confort et du profit, avec cet Accord de Paris devenu caduque et ces dirigeants politiques incapables de changer de paradigme, enfermés qu’ils sont dans une logique de réélection ou de profit.

Le monde est fait de grands équilibres qui échappent à l’intelligence de l’Homme et l’univers doit sa longévité à des lois de régulation qui s’imposent à tous. La capacité des espèces animales et végétales à s’adapter aux changements de leur environnement a fait le reste, c’est tout ce qui fait la richesse et la beauté de la biodiversité, que l’homme par sa cupidité s’est évertué à mettre à mal au risque de flirter avec le point de non-retour.

Le jour d’après :

Alors oui, on ne peut pas exclure l’hypothèse qu’à l’image du déluge, le coronavirus soit arrivé à point nommé pour contraindre les sociétés humaines à prendre conscience qu’elles sont allées trop loin et qu’elles devront reconsidérer leur rapport à la communauté, à la production et à l’environnement.

Malheureusement, il y aura un prix à payer :

-D’abord humain, par la sélection naturelle qui va soustraire les éléments les plus fragiles, afin de repartir avec des troupes saines, viables, à même de porter le nouveau projet,

-Ensuite sociétal, car le confinement aura mis les hommes face à toutes leurs incohérences, il conviendra de revoir l’échelle des valeurs pour le couple, les enfants, la communauté. Cette remise en cause va provoquer nombre de conflits familiaux, divorces, rupture d’héritages et d’amitiés car tout sera à reconstruire,

Egalement, économique avec les faillites d’entreprises, pertes d’emploi qui vont totalement redessiner le paysage de l’entreprise survivante, avec plus de flexibilité et d’insécurité mais également un nouveau rapport à la production, notamment avec la généralisation forcée du télétravail dont le maintien aura un effet salvateur sur les transports, la pollution, la productivité et la sociabililté,

-Enfin, environnemental, par la prise en compte de la durabilité comme fil d’Ariane de toutes les politiques touchant à l’humain, à la production, à la science et à la biosphère.

Covid 19 : danger ou opportunité ?

La réponse nous appartient, individuellement et collectivement, à travers l’émergence d’une nouvelle citoyenneté basée sur la responsabilité, la sincérité et la solidarité.

Amath BA

31 mars 2020